Amiens, 27 mars 1966, 12h30. Une boule de bruits assourdissants roule depuis quelques heures jusqu’à des petites oreilles. Vite, il faut s’extirper de cet endroit sombre devenu trop étroit ! A l’extérieur, la nature est déchaînée, le ciel, zébré de flashs… On n’échappe pas à son destin !
Intéressée depuis toujours par la capacité dont dispose chaque individu à avancer dans ses propres labyrinthes, la «fille de la tempête» s’essaie, au cours de l’année 2012, à réaliser quelques autoportraits. Interpréter l’Etre humain dans sa complexité devient alors un de ses thèmes de prédilection.