© Antonio Nodar / Gerardo de Pablo
(…) maintenant, pour mes sculptures en acier, je ne programme rien. Pas d’élaboration intellectuelle. Je me lasse jouer des formes. Ça s’organise et puis se réorganise, cela peut prendre du temps, peu importe.
Il y a quelque chose de surréaliste dans ce qui se passe, qui vient inconsciemment. Il se révèle une actualité que je ne soupçonnais pas. Je suis le premier surpris de ce qui apparaît.