© Antonio Nodar / Hans Bouman
Les compositions de Hans Bouman sont à mes yeux un cycle d’autoportraits. Mais, à l’inverse de Rembrandt, ce ne sont pas ses propres traits qu’il trace et dont il joue, mais ses sentiments, ses passions, ses doutes, ses rêves, sa pensée de la peinture entre le virtuel et le tangible.
En somme, voici des autoportraits secrets dont on ne sait s’ils prennent consistance ou vont s’effacer peu à peu, avec toute l’énigme qu’ils supposent.
Gérard-Georges Lemaire